C’est l’opium du peuple dit-on.
Les larmes qui brûlent nos joues frêles.
Des vers perdus au milieu de vaines croyances,
Naufragés du ciel et dénués de leur plumage.
Et dans nos cœurs embués de nuit,
Doit-on apercevoir la fin des belles nébuleuses ivoirines et éphémères du baldaquin stellaire ?
Tu sens comme les étoiles brillent encore,
Comme l’armistice bienfaisant n’est pas loin.
Chante la folie, elle est le miroir du grand amour.