Doux sont les matins chantants,
De deux mains éprises d’amour.
Un violon chante sous la brise morne.
Une larme l’accompagne dans l’océan des peines.
Dans l’infinité du monde, tu es mon pied-à-terre.
Parce que j’ai tendance à être un peu la tête dans les cieux,
Le cœur dans un écrin de rêveries perdues.
Dans un jardin d’enfants nacré.
Parce que le monde me semble enrobé de sucre rose,
Quand ton bras touche le mien,
Que nos frissons se rassemblent sur le même tempo,
Pour former une seule et même danse.